La crise du logement
- Joseph Charbonneau
- 19 janv. 2023
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Par Jennifer Gard

L’augmentation du panier des courses, l’accélération des biens et services et la chute considérablement du prix d’essence. Les communautés de la localité Maskoutaine n’ont pas été épargnées depuis les 12 derniers mois. La montée du coût de la vie aggrave la vie de beaucoup des familles. Avec l’insuffisance des logements sociaux qui sont abordables, la majorité des familles maskoutaines sont tenues par la gorge avec le prix de leur loyer.
D’après la documentation affichée sur le site de la société canadienne d’hypothèques et de logement, le coût du loyer d’une famille ne devrait pas dépasser 30% de son revenu familial. À cause du manque de logements abordables. Cette marge a monté de 50% pour un bon nombre de familles de la classe moyenne inférieure.
Plusieurs bâtiments abritant des logements à un prix réduit ont été détruits pour laisser place à de nouvelles constructions. Qui sont beaucoup trop chères pour les anciens locataires. Un quatre et demi coûte plus de 1400$, les gens ne peuvent pas se payer ce prix exagéré.
Dans la majorité des marchés, le taux d’inoccupation est encore plus bas pour les logements de trois chambres à coucher que pour les autres sortes de logement. Les loyers sont plus excessifs. Les familles locataires se voient forcées d’accepter de vivre dans un logement trop cher, trop petit, insalubre et ça peut arriver que ce soit tout en même temps.
Les changements résidentiels ont un grand effet majeur sur le développement des enfants. Les conditions sont particulièrement difficiles pour les pères et pour les mères des familles. Ils doivent assurer le bien-être de leurs enfants.
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