Le changement climatique au Québec
- Joseph Charbonneau
- 3 nov. 2022
- 1 min de lecture
Par Jennifer Gard

La fragilité du Québec face au changement climatique commence à être mieux et plus documentées. Mais la mise en adaptation des mesures est inégale parmi les divers lieux et reste, pour certains milieux, un défi de taille.
Les conséquences contrastées par les changements du climat sont considérablement percevables en agriculture. Diverses cultures, comme le soya, le maïs et plusieurs plantes fourragères, pourraient fournir de meilleurs bénéfices en raison de l’allongement de la saison de croissance. D’autres rendements plus adaptés aux régions fraîches, comme le canola, l’orge et le blé, pourraient encore plus souffrir de l’augmentation de la chaleur. Si baisser les émissions de gaz à effet de serre (GES) reste d’abord la première chose pour éviter les pires scénarios, les changements climatiques sont néanmoins inévitables rappelle le chapitre québécois.
Finalement, le climat s’est déjà réchauffé, selon les endroits, de 1 à 3 degrés de plus à partir de 1950. C’est au début de 1950 que cela a commencé à augmenter. Sans mesure de restriction primordiale des GES, la progression risque de persister. La température pourrait encore monter de 3,5 °C en 2050 et encore de 6 °C en 2080.
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